Grossesse : difficulté à respirer pour la femme enceinte

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

Avertissement : Si vous avez des questions ou des préoccupations médicales, veuillez en parler à votre médecin. Même si les articles sur ce site se basent sur des études scientifiques, ils ne remplacent pas un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement.

Vous êtes enceinte ? Nous vous félicitons et sommes très heureux pour vous ! Néanmoins il faut savoir que pendant la grossesse il peut arriver des difficultés à respirer. Est-ce normal ? Oui virgule mais il faut faire attention !

En effet il peut s’agir de dyspnée ce qui n’est pas négligeable ! Vous souhaitez en savoir plus ? Nous allons tout vous dire sur la dyspnée, les symptômes de cette dernière et quelques conseils pour la traiter ! Prête en savoir plus ? C’est par ici que ça se passe !

Qu’est-ce que la dyspnée ?

Avant toute chose nous allons vous expliquer en détail ce qu’est la dyspnée ! Il faut savoir que là dyspnée est généralement associée au système cardio-vasculaire et respiratoire.

Ces difficultés respiratoires pendant la grossesse peuvent expliquer en fonction de la croissance du bébé. Mais l’effet des hormones la modification du système respiratoire ne sont pas en reste.

Il est important de savoir que plus de la moitié des femmes ont de la dyspnée pendant leur grossesse. En d’autres termes, cela est parfaitement anodin et se soignent super bien.

Y a-t-il des moments de la journée ou la femme ressent plus là dyspnée que d’autres moments ? Oui, la dyspnée pendant la grossesse peut être ressentie lors de l’exécution d’une activité ou pendant une période de repos si cette dernière est longue.

Notons également qu’il existe deux types de dyspnée : la dyspnée aiguë et là dyspnée chronique bon pour la première les soufflements ne durent que quelques semaines tandis que pour l’autre cela peut durer plusieurs mois.

Les symptômes de la dyspnée chez la femme enceinte ?

Mais avant de vous donner quelques conseils pour traiter cette maladie nous allons vous parler des symptômes plus en détail :

• Une femme qui ressent de la dyspnée peut être essoufflée de manière générale. Il peut y avoir une faiblesse du corps et de la fatigue.
• Des décolorations bleutées des ongles et de la peau peuvent également apparaître.
• L’agitation, les modes de respiration et l’augmentation de la fréquence cardiaque sont également des signes.

Grossesse : conseils pour traiter la difficultée à respirer

Nous allons maintenant vous donner quelques conseils pour traiter au mieux là dyspnée chez la femme enceinte :

• La première chose à savoir est d’éviter de forcer sur certaines tâches. En effet la femme enceinte doit se détendre de temps en temps pendant la grossesse.
• Pratiquer des exercices de respiration peut aider la femme à surmonter sa dyspnée également.
• La posture du corps est également importante : en position assise par exemple la femme devrait garder ses épaules en arrière.
• Si vous êtes à bout de souffle ou mal à l’aise il ne faut pas hésiter à changer de position.
• Quelques exercices doux pendant la grossesse de vous feront pas de mal non plus pour une dyspnée.

En conclusion, il ne faut pas avoir peur de consulter son médecin traitant si jamais vous avez des problèmes de respiration lorsque vous êtes enceinte. En effet ce dernier sera en mesure de vous donner le traitement adéquat et quelques conseils en plus de ce que nous avons vu dans cet article.

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Constipation et grossesse : comment vaincre la peur de pousser ?

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Vous êtes enceinte ? Vous êtes constipée ? Pas de panique, nous allons vous donner quelques conseils.

Pourquoi la constipation est-elle fréquente chez la femme enceinte ?

Comme vous devez certainement vous en douter, les femmes enceintes sont souvent sujettes à une constipation. Mais qu’en est-il vraiment ? Il faut savoir que lorsqu’une femme tombe enceinte, de nombreux changements opèrent dans son corps.

Et parmi ces derniers, il est parfaitement possible de parler de la progestérone. Il s’agit tout simplement d’une hormone qui est fortement secrétée pendant la grossesse d’une femme. Cette dernière permet de ralentir le travail des muscles intestinaux.

Notons également qu’à ce même moment, l’utérus va prendre plus de place sur l’appareil digestif. Sans oublier le fait qu’une future maman, réduit considérablement son activité physique, ce qui agit essentiellement sur le transit également.

Néanmoins, il faut savoir que ce ne sont pas toutes les femmes qui ont des constipations. Chacune a un transit différent, en fonction de son corps. Cependant, si vous ne souffrez pas de ballonnements, ni de maux de ventre, vous n’avez pas besoin de vous affoler. Cela est parfaitement normal.

Cependant, nous vous conseillons fortement de ne pas prendre un médicament si vous n’avez pas eu l’avis d’un médecin.

Comment remédier à une constipation pendant la grossesse ?

Bien évidemment, il est parfaitement possible de remédier à une constipation pendant la grossesse. Voici quelques conseils qui devraient certainement vous aider :

• Mangez des fibres : que ce soit pendant la grossesse ou non, les fibres sont un excellent moyen d’accélérer le transit intestinal d’une personne. Il est donc nécessaire d’en manger, si vous rencontrez des problèmes de constipation.
• Boire au minimum 1,5 litre d’eau par jour. Cela vous aidera également à aller à la selle.
• Privilégier un début de repas avec un aliment gras comme l’avocat ou des crudités avec une cuillère de vinaigrette ou d’huile d’olive.
• Éviter les aliments qui peuvent ballonner ou qui sont difficiles à digérer.
• Privilégier les produits contenants du bifidus actif.

Une nouvelle hygiène de vie est indispensable

Comme vous devez certainement vous en douter, une nouvelle hygiène semble être obligatoire. Vous pouvez parfaitement continuer de faire du sport.

En effet, vous pouvez parfaitement faire de la marche ou encore du yoga. Comme vous devez certainement le savoir, les sports extrêmes ne sont pas forcément conseillés.

Les bons gestes pour vaincre votre peur de pousser !

Et si vous avez vraiment la peur de pousser, pas de panique, nous allons vous donner quelques conseils qui devraient certainement vous aider :

• Aller aux toilettes dès que vous en avez envie. En effet, il ne faut pas laisser une occasion passée. Pourquoi ? Tout simplement parce que les selles deviennent dures et sont donc plus difficiles à expulser.
• Avoir la bonne position lorsque vous êtes aux toilettes : il est préférable d’être presque accroupi pour que les selles puissent partir de manière plus simple.
• Ménagez également votre périnée : ne poussez pas trop fort, faites le strict minimum.

En conclusion, il est parfaitement possible de pousser lorsqu’on est en enceinte et constipée. Néanmoins, faites tout de même attention et essayez de changer vos habitudes.

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Palpitations et grossesse : comment gérer son stress?

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Les palpitations désignent un trouble du rythme cardiaque fréquent au cours de la grossesse. Elles se caractérisent par des battements de cœur irréguliers, désordonnés et anormaux.

Les palpitations peuvent avoir pour causes des raisons pathologiques (anémie, hyperthyroïdie, hypertension artérielle…), mais chez la femme enceinte, elles sont souvent déclenchées par le stress. Vous en souffrez ?

Nous vous livrons dans cet article nos conseils pour vous permettre de gérer votre stress et calmer les palpitations.

Femme enceintes : acceptez les changements

Les cheveux moins gras, les seins qui prennent du volume, les quelques vergetures qui apparaissent sur le ventre la grossesse sont dus à un bouleversement hormonal et implique des changements aussi bien physiques que psychiques.

La première étape pour gérer le stress en cette période consistera à accepter ces changements.

Détendez-vous et profitez des petits plaisirs de la vie. N’oubliez pas, votre corps est une véritable merveille de la nature. Plus vous l’accepterez, moins vous aurez tendance à stresser.

Reposez-vous suffisamment pour éloigner le stress

On ne le dira jamais assez, votre corps en période de grossesse a besoin de repos pour lutter efficacement contre le stress. Prenez assez de temps pour vous.

Évitez au mieux les travaux ménagers épuisants, et si vous avez des enfants, n’hésitez pas à les confier à votre compagnon ou à vos parents. Faites le vide dans votre tête et recentrez-vous sur votre propre bien-être.

Une séance de lecture, une longue détente tout en écoutant de la musique relaxante, rien de tel pour éloigner stress et anxiété.

Palpitations et grossesse : n’hésitez pas à en discuter

Vous vous préoccupez de la santé de votre futur bébé ? Vous stressez par rapport à votre rôle de parent ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule à vivre cette situation.

Partager vos sentiments avec votre compagnon, vos amis ou votre famille vous sera d’une grande aide.

Vous pourrez aussi en discuter avec votre sage-femme ou des futures mamans au même stade de grossesse que vous afin d’échanger sur vos doutes et inquiétudes. Cela vous permet de trouver le soutien moral dont vous avez besoin.

Quoi qu’il en soit, notez qu’en partageant vos inquiétudes avec vos proches, vous parviendrez à réduire considérablement votre stress.

Gérer son stress grâce au sport et à une bonne alimentation

Votre alimentation a un impact direct sur votre état d’esprit, vous devrez bien choisir ce que vous consommez si vous tenez à réduire votre niveau de stress et calmer les palpitations.

Le tryptophane est un acide aminé essentiel pour l’organisme, il permet de booster la production de sérotonine (l’hormone du bonheur).

Consommer des aliments riches en tryptophane vous permettra donc de déstresser et augmentera votre sensation de bien-être. Le tryptophane se retrouve dans plusieurs produits comme :

• les noix et graines,
• les Bananes,
• le Soja.

Par ailleurs, notez que la pratique d’une activité physique vous aidera à mieux gérer le stress en période de grossesse.

Des études ont démontré que la pratique du yoga par exemple, permet d’améliorer la santé cardiaque et de diminuer le stress. Il est toutefois déconseillé aux femmes enceintes de pratiquer une activité physique trop intense.

Voilà ! Vous en savez un peu plus sur comment gérer le stress et calmer les palpitations pendant la grossesse. Si toutefois les palpitations que vous ressentez sont excessivement fortes et douloureuses, n’hésitez pas à recourir à un professionnel de la santé.

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Grossesse : la libido de la femme enceinte

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Vous souhaitez avoir des rapports sexuels pendant la grossesse de votre femme ? C’est parfaitement possible. Néanmoins, cette dernière pourrait grandement avoir une libido changeante. Prêt à en apprendre plus ? C’est parti !

Grossesse et libido : des changements hormonaux plutôt intenses !

Une femme enceinte va change de libido à plusieurs reprises au cours de sa grossesse. Et c’est lors du premier trimestre que les premiers changements peuvent arriver.

En effet, la femme subira de nombreux changements hormonaux, ce qui lui permettra d’être beaucoup moins axé sur la partie sexuelle du couple.

Il faut savoir que c’est une période plutôt longue. En effet, la femme peut ressentir ces différences hormonales pendant trois mois. En d’autres termes, il n’y a rien d’étonnant à ce que cette dernière n’est pas forcément envie de faire l’amour pendant cette période.

Notons également que certains symptômes désagréables, comme des nausées, des vomissements ou encore une très grande fatigue peuvent également jouer sur la libido d’une femme. Il faut donc être patient et attendre que cette période passe.

Le désir revient au second semestre

Le second semestre est un renouveau pour le couple. En effet, la femme retrouve son désir et donc sa libido. Il faut savoir que les œstrogènes qui sont créés par le placenta permettent de stimuler de nouveau la libido d’une femme. Notons également que le vagin est plus lubrifié.

Les tissus qui se trouvent à l’intérieur sont humides, comme si l’excitation était présente sans disparaître, ce qui est plutôt bon signe.

Il faut également savoir que l’appareil génital de la femme est donc beaucoup plus réceptif aux caresses, ce qui ne devrait pas déplaire à Monsieur.

À ce moment-là de la grossesse, il faut savoir que la femme peut avoir une libido débordante, ce qui n’est pas négligeable. Parfois, certains couples ont l’impression de vivre une seconde lune de miel durant cette période !

Troisième semestre : le sexe est-il encore possible pour la femme enceinte ?

Le troisième semestre est également la fin de la grossesse, mais il est important de se demander si une femme peut toujours avoir des rapports sexuels. Il faut savoir que la réponse est oui si, et seulement si, cette dernière ne risque pas d’accoucher de manière trop prématurée.

C’est donc le médecin qui suit Madame qui sera en mesure d’affirmer ou non le fait de pouvoir faire l’amour.

Néanmoins, il faut savoir que le fait que la femme soit enceinte, en plus de son ventre volumineux, peut nuire à sa libido. Il arrive donc fréquemment qu’une femme n’a pas envie de faire l’amour lors de son troisième semestre, ce qui est parfaitement compréhensible.

En conclusion, la libido de la femme va changer souvent au cours de la grossesse. Comme vous pouvez le constater, il faut savoir que les hormones des femmes changent leur libido, mais également leur corps.

En d’autres termes, en fonction de la période, mais aussi de ces hormones, elle peut avoir plus ou moins envie de faire l’amour !

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Grossesse : vomir après manger quand on est enceinte

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Vous êtes enceinte ? Vous n’arrêtez pas de vomir ? Pas de panique, voici quelques astuces qui devraient vous aider !

Grossesse : vomir après manger

Lorsqu’une femme est enceinte, il n’est pas rare que cette dernière ait des nausées, qui se traduisent souvent en vomissements. Il faut savoir que seulement deux femmes sur dix n’ont pas de nausées, ni de vomissement. Autrement dit, vous avez peu de chances de ne pas y échapper.

Mais l’une des solutions que vous pouvez avoir pour éviter de vomir après votre repas est d’essayer de manger lorsque vous avez des nausées. Nous sommes d’accord, ce n’est pas vraiment l’idéal, sans parler du fait que l’on n’a pas forcément faim lorsqu’on a des nausées.

Néanmoins, cela peut vous éviter de vomir, par la suite.

Notons également que certains aliments vous soulèveront moins le cœur que d’autres. En d’autres termes, vous devez vraiment opter pour ceux qui vous font envie sans pour autant que vous ayez envie de vomir, par la suite.

Les nausées matinales : l’enfer !

Notons également que vous pouvez aussi avoir des nausées matinales. Tout comme celles que vous pouvez avoir après avoir mangé, ces dernières peuvent également être calmé si vous ingurgitez quelque chose.

N’hésitez pas à garder certains aliments comme des biscottes ou encore des fruits secs à portée de main. Pourquoi ? Tout simplement parce que cela vous empêchera de vomir lorsque vous aurez des nausées.

Se reposer et manger correctement lorsqu’on est enceinte

Lorsqu’on est enceinte, il y a deux éléments qui doivent être pris en compte : le repos et les aliments que vous allez manger. En effet, le meilleur moyen de ne pas vomir après avoir mangé est tout simplement de prendre des aliments qui « passent ».

En d’autres termes, n’allez pas prendre de la pâte à tartiner, si vous savez que vous ne supportez pas cela lorsque vous êtes enceinte. Le but est vraiment de manger des aliments qui ne vous donneront pas envie de vomir.

Notons également qu’il vaut mieux fractionner vos repas. Manger peu, mais plus fréquemment est une technique qui pourrait fonctionner. Néanmoins tout dépend de la femme et de son organisme.

Ne pas se déshydrater

Que vous ayez envie de vomir ou non, il est impératif de ne pas se déshydrater. En effet, le corps a besoin d’eau pour fonctionner correctement. Et ce n’est pas parce que vous n’allez pas boire que vous aurez moins de nausées, bien au contraire.

L’hydratation est donc un point extrêmement important que vous ne devez pas négliger tout au long de votre grossesse.

Les médecines douces : un vrai remède !

Si vraiment vos nausées après les repas ne vous passent pas, n’hésitez pas à contacter un professionnel de médecin douce. Ces derniers pourront facilement vous donner des conseils, mais également des astuces.

En conclusion, la grossesse peut être une vraie joie comme un réel enfer en fonction du vécu de chacun. Quoi qu’il en soit, il est parfaitement normal de vomir durant cette période, même si les experts ne comprennent pas vraiment d’où cela peut provenir.

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Mauvais rêve pendant la grossesse : comment se défendre ?

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Faire des mauvais rêves quand on est enceinte n’est jamais une partie de plaisir ! C’est pour cette raison qu’il faut vraiment comprendre d’où ces derniers peuvent venir. Mais pas de panique, nous allons tout vous expliquer !

Les différentes phases de cauchemar durant la grossesse

Il s’avère que les femmes enceintes peuvent faire des cauchemars. Mais il faut aussi savoir que cela peut se dérouler en trois phases bien distinctes :

• Pendant le premier trimestre : c’est lors de la confirmation de la grossesse qu’une femme peut avoir des cauchemars. En d’autres termes, vous avez une image parfois trop idéale de votre bébé.
• Le deuxième trimestre est également une phase durant laquelle vous aurez de nombreux cauchemars : vous aurez certainement des doutes quant au fait de pouvoir éduquer un enfant, par exemple.
• Et comme vous devez certainement vous en douter les cauchemars arriveront à partir du troisième trimestre : ce sont surtout des peurs et des angoisses liées à l’accouchement. En effet, il s’agit d’une période très angoissante pour une femme.

Néanmoins, il ne faut pas s’inquiéter. En effet, il est courant que les femmes fassent des cauchemars. Mais si cela peut vous rassurer, vous pouvez parfaitement consulter un professionnel de santé.

Pourquoi les femmes enceinte font des mauvais rêves ?

Mais si vous avez peur de faire des cauchemars, sachez que vous n’êtes pas la seule. En effet, il est important de savoir que toutes les femmes enceintes, ou presque, en font. Et les raisons sont diverses et variées.

De manière générale, ses cauchemars interviennent quand une femme à des peurs ou des appréhensions par rapport à un événement.

Que ce soit le fait d’accoucher, le fait d’être maman ou encore le risque de faire une fausse couche, les cauchemars se nourrissent de ces peurs.

Notons également que les changements hormonaux y sont aussi pour beaucoup. En effet, les changements hormonaux permettent également aux femmes de faire des cauchemars puisque ces derniers dérèglent l’ordre psychologique.

Comment les réduire ou minimiser leur fréquence ?

Pour essayer de se défendre contre ces cauchemars, il est très important de faire de la relaxation et de la méditation. En effet, c’est l’un des meilleurs moyens qui existent à l’heure actuelle pour qu’une femme enceinte fasse le moins de cauchemars possible.

Il est également très important de se centrer sur soi-même. Pourquoi ? Tout simplement parce que cela vous permettra de ne pas penser à autre qu’à vous-même, ce qui est largement important pour une femme enceinte également.

Essayez aussi de vous déculpabiliser. Eh oui, vous êtes enceinte, il n’y a pas mort d’hommes, bien au contraire !

En conclusion il est normal de faire des cauchemars lorsqu’une femme est enceinte. Néanmoins, il est parfaitement possible que cette dernière se défendre comme ces derniers.

S’ils deviennent trop importants, il serait intéressant de consulter un hypnothérapeute, par exemple, pour connaître l’origine de ces derniers. Aussi, il est parfaitement possible de minimiser ces derniers comme nous l’avons vu.

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Aérophagie et grossesse : la solution du régime sans résidu

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Il peut arriver qu’une femme enceinte fasse de l’aérophagie. Et le meilleur moyen de soulager cette dernière est tout simplement de faire un régime sans résidus. Plus d’informations ? C’est par ici que ça se passe !

Aérophagie : le principe du régime sans résidu

Pour faire simple, le régime sans résidus permet simplement de ne manger que des aliments qui sont assimilables par l’intestin grêle et qui arrivent à parvenir jusqu’au colon. Il s’agit principalement d’éviter de manger des aliments qui ont un réel apport en fibre.

En d’autres termes, une personne qui pratique ce régime doit vraiment faire attention à son alimentation. Nous allons vous faire une liste des aliments conseillés et déconseillés au sein de cet article.

À qui s’adresse ce régime ?

Il y a différents types de personnes à qui peut s’adresser ce régime. Voici une liste de ces dernières :

• Une personne qui va se faire une coloscopie, doit réellement faire ce régime 3 jours avant.
• Lors des poussées qui surviennent pendant la maladie de Crohn.
• Les jours suivants une opération chirurgicale lié à l’appareil digestif.
• Les femmes enceintes qui font de l’aérophagie.

Quels sont les aliments conseillés et les aliments déconseillés ?

Mais pour que vous sachiez quels types d’aliments vous avez le droit ou non de manger, il est important de vous référer à la liste ci-dessous :

• Les fibres : en effet, les enzymes humaines ne sont pas capables de dégrader. Et ces derniers fermentent dans le colon.
• L’amidon : il s’agit donc des glucides des féculents.
• Le lactose.
• Les polyols.
• Les graisses cuites, les épices ainsi que l’excès de caféine et d’alcool.

Néanmoins, vous pouvez parfaitement manger ce type d’aliments :

• Le lait qui a une teneur réduite en lactose.
• Les yaourts natures ou aromatisés.
• Les fromages à pâte pressées ou cuites.
• Les viandes maigres.
• Les volailles.
• Les jambons cuits.
• Le pain grillé et les corn-flakes.
• Le sucre, le miel ou encore la gelée de fruits.

Grossesse : les bienfaits d’un régime sans résidus

Comme vous pouvez le constater, il s’agit d’un régime plutôt strict. Néanmoins, il possède des bienfaits qui ne sont pas négligeables :

• Il permet de mieux éliminer les selles présentes dans le corps.
• Il peut également soulager certains symptômes digestifs lors d’une poussée de maladie, par exemple.

Les inconvénients de ce régime

Néanmoins, c’est un régime qui possède de nombreux inconvénients également :

• C’est un régime plutôt monotone : les gens ayant recours à ce dernier peuvent rapidement s’en lasser.
• Il est plutôt déséquilibré et carencé.
• Il peut fragiliser la muqueuse intestinale.
• Il favorise l’appauvrissement de microbiote intestinal.

En conclusion, dans certains cas il est important de faire ce type de régimes. Néanmoins, il faut tout de même faire attention à ce que ce dernier ne soit pas fait trop souvent. En effet, il y a trop d’éléments importants pour la santé qui ne sont pas pris en compte dans ce régime.

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Grossesse et chute de la tension chez la femme enceinte: que faire ?

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La pression artérielle normale chez la femme enceinte tourne autour de 12/7. Toutefois, les fluctuations pendant la grossesse sont souvent fréquentes. En d’autres termes, la tension peut considérablement baisser (hypotension) et redevenir stable chez la femme enceinte. Future maman, vous ne savez pas quoi faire en cas de chute de tension ? Trouvez des éléments de réponse dans cet article.

Les causes de l’hypotension chez la femme enceinte

Pour mieux se développer, le fœtus et le placenta ont également besoin de sang. À cet effet, votre cœur va pomper plus de sang que la normale. Ces changements hormonaux dilatent les veines et artères de l’organisme.

La pression exercée va occasionner un relâchement des parois des vaisseaux sanguins, d’où la baisse de la tension. Chez la femme enceinte, ce phénomène est courant au cours du 1ᵉʳ trimestre. La tension se stabilise au 2ᵉ trimestre, puis baisse à nouveau au 3ᵉ trimestre.

À quelques semaines de l’accouchement, tout revient à la normale. Parfois, un geste brusque comme se lever rapidement peut également entraîner une diminution de la pression artérielle. On parle dans ce cas d’hypotension orthostatique.

Si vous êtes enceinte, le fait de s’inquiéter est normal. Le bienêtre de votre bébé vous importe beaucoup. Rassurez-vous, les chutes de tension durant la grossesse sont souvent bénignes et passagères.

Les signes et symptômes d’une faible pression artérielle pendant la grossesse

Les symptômes et signes d’une chute de tension chez la femme enceinte varient d’une femme à l’autre. En général, une faible pression artérielle se manifeste par des vertiges, une sensation de fatigue, l’anxiété et des malaises fréquents. Toutefois, une chute de tension peut également s’accompagner :

• de maux de tête
• de sueurs froides
• de vision brouillée
• de diminution de l’audition
• de difficultés à respirer
• de visage pâle
• de palpitations
• d’évanouissements, etc.

Même si ses effets sont désagréables, la chute de tension n’est normalement pas dangereuse pour vous et votre bébé.

Chute de tension chez la femme enceinte, que faire ?

Nous l’avions dit plus haut, les chutes de tension chez la femme enceinte sont passagères et rarement nuisibles à la santé. Cependant, si la grossesse favorise des inconforts, l’hypotension en plus peut s’avérer gênante. Ainsi, il existe des moyens à mettre en œuvre pour prévenir ou éviter des sensations inconfortables causées par une tension faible.

• La position à adopter

En cas d’hypotension, il est recommandé de s’allonger en surélevant les jambes (à l’aide d’un oreiller par exemple). Cette position favorisera la circulation sanguine. Pour cette même raison, il est également conseillé de dormir sur le côté gauche.

Pensez à vous rasseoir en cas d’hypotension orthostatique, le temps de récupérer.

• Une bonne hygiène de vie

Pour le bienêtre du bébé, toute femme enceinte doit avoir une hygiène de vie irréprochable. Pour ce faire, il faut se reposer suffisamment, éviter le stress, avoir un bon régime alimentaire, etc. Durant la grossesse, l’alcool est à bannir et une hydratation suffisante est de mise. Vous devez également éviter les excès de chaleur.

• Les consultations prénatales

La tension est surveillée de façon régulière au cours de chaque consultation prénatale. Veillez donc à ne rater aucune visite médicale.

Ce qu’il faut retenir, c’est que les variations de tension sont normales chez la femme enceinte. Par ailleurs, il est impératif de consulter un médecin tout le long de la grossesse. Ce dernier procédera à une surveillance régulière des fluctuations de votre pression artérielle.

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Grossesse: comment maigrir rapidement après l’accouchement ?

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Après un accouchement, il est souvent difficile de se débarrasser des kilos en trop. Heureusement, il existe des solutions.

Vous devez reprendre une alimentation équilibrée, en la couplant avec une activité physique douce et régulière, adaptée à votre état de santé. Cependant, il faut effectuer une rééducation périnéale et abdominale avant de reprendre sérieusement le sport.

Nous allons parler dans cet article de l’alimentation qu’il faut suivre dans votre situation de jeune maman.

Faire un régime après la naissance de bébé

L’accouchement est un exploit physique, qui vide votre corps. L’objectif est donc de vous recentrer sur vous, vous faire du bien et retrouver de l’énergie pour ensuite vous occuper pleinement de votre bébé et organiser la vie de famille.

Il existe bien sûr des femmes qui sont en pleine forme après avoir accouché. Toutefois, il faut faire preuve de prudence car vous pouvez être fatigué physiquement jusqu’à plusieurs semaines après la naissance de bébé.

Aussi, il est important de trouver un rythme de croisière avec votre bébé. Vous penserez à effectuer un régime dès que le dynamisme sera revenu, que vous aurez retrouvé toute votre vitalité ainsi qu’une plus grande disponibilité.

Dans tous les cas, après avoir accouchée, faites très attention à votre  alimentation car en plus des calories dont vous allez bénéficier, vous devez aussi faire le plein de vitamines, minéraux et antioxydants, incontournables pour assurer votre équilibre moral et physique.

Après l’accouchement : l’importance d’une alimentation équilibrée

Pour  garder la ligne après l’accouchement, il est hors de question de se contraindre à un régime strict et punitif. Il suffit de respecter les fondamentaux d’une alimentation équilibrée.

Ainsi, vous allez perdre progressivement du poids. Dans les lignes suivantes, nous allons voir quels sont les aliments qui peuvent vous faire du bien.

N’hésitez pas à consommer des fruits à tous les repas. Nous vous recommandons de manger un fruit cru pour profiter de ses formidables atouts nutritionnels.

Si vous préférez boire un jus de fruits, évitez les produits industriels et pressez-vous même les fruits pour bénéficier d’une boisson authentique !

En effet, les jus de fruits vendus en grande surface, donnent peu d’apport nutritionnels, notamment en ce qui concerne les vitamines.

Les compotes sont aussi une excellente alternative. Là aussi, il est préférable que vous la fassiez vous-même. Vous pouvez ainsi consommer jusqu’à 3 portions de fruits par jour.

Veillez toujours à consommer des légumes en quantité similaire aux féculents. Il est conseillé de consommer une portion de crudités  au quotidien : salade verte, carotte râpées, concombre, tomates, etc.

Pour bénéficier de vitamines, et de fibres, vous avez également les woks, soupes, jus de légumes, etc.

Les féculents sont indispensables pour éviter de se sentir privé et céder au grignotage. Il ne faut pas les éviter, ce qui est une grossière erreur, mais les consommer en quantités adaptées.

Diversifiez les sources de glucides en optant pour des pâtes, du riz de la patate douce, etc. Vous pouvez aussi choisir des légumineuses comme les haricots rouges et blancs, pois cassés, lentilles, etc..

Les protéines contribuent au bon fonctionnement de l’organisme en construisant et en renouvelant les cellules et tissus. Grâce à elle, vous aurez une sensation de satiété et éviterez également de manger entre les repas.

Il est recommandé de les consommer ainsi : une portion le midi et le soir. Pour bénéficier des acides aminés, alternez les viandes blanches, les viandes rouges et les œufs.

Enfin, complétez le tout avec du poisson deux fois par semaines pour faire le plein d’Omégas 3.

Vous pouvez manger entre 2 et 3 laitages par jour, et alterner entre yaourts, fromages blancs, faisselle, les petits suisses et le lait. Vous pouvez consommer une fois par semaine une portion de fromage.

Les matières grasses jouent un rôle majeur dans le fonctionnement du corps. Il faut toutefois privilégier la qualité, et ne pas en abuser.

Le matin, vous pouvez consommer 10 g de beurre ainsi que le midi et le soir. Durant le reste de vos repas, vous pouvez ajouter un zeste d’huile d’olive, de colza, ou de noix, par exemple.

Les boissons pour maigrir après la grossesse

On ne peut évidemment pas se passer d’eau. Toutefois, si vous n’avez pas de tension élevée, vous pouvez consommer de l’eau pétillante ou gazeuse.

En ajoutant quelques gouttes de sirop 0% pour aromatiser l’eau. Pensez aussi au thé, aux tisanes et au café qui vous permettront de vous détendre.

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Grossesse et mal de dos: quelle posture d’étirement faire?

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

Avertissement : Si vous avez des questions ou des préoccupations médicales, veuillez en parler à votre médecin. Même si les articles sur ce site se basent sur des études scientifiques, ils ne remplacent pas un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement.

Dans cet article, vous allez découvrir quelle posture d’étirement faire pour soulager le mal de dos lié à une grossesse. En effet, à mesure que le bébé se forme et grandit dans le ventre de sa maman, des maux de dos peuvent survenir. Le poids du ventre entraine des tiraillements dans le dos, des douleurs lombaires, des sciatiques… Prendre certaines postures peut soulager les douleurs dorsales de la grossesse.

S’étirer pendant la grossesse pour soulager son dos

Attendre un enfant peut entrainer un mal de dos, surtout en fin de grossesse. Les futures mamans doivent, sauf avis médical contraire, garder une activité physique régulière. Celle-ci doit être adaptée pour ne pas fatiguer la future mère ni mettre en péril son enfant.

Faire des étirements est une solution envisageable pour les femmes enceintes, avec l’accord du médecin assurant le suivi de la grossesse. Des étirements peuvent être pratiqués durant toute la grossesse. Au début de la grossesse, les exercices d’étirement peuvent être réalisés assez facilement.

En milieu et fin de grossesse, une attention particulière doit être prêtée à l’équilibre et des supports peuvent être utilisés, comme une chaise ou un mur.

Basculer le bassin de gauche à droite et inversement soulage le mal de dos avec un effet massant. Ce travail peut être effectué allongée ou assise.

Il est aussi possible de pratiquer une variante debout contre un mur, en basculant cette fois le bassin d’avant en arrière.

La posture du chat, comme on l’appelle en yoga, est aussi recommandée pour les femmes enceintes qui souffrent de douleurs dorsales. Il s’agit de se mettre à quatre pattes, en appui sur les mains et sur les genoux. En alternant le dos rond et le dos cambré, la colonne vertébrale s’assouplit et les douleurs du bassin se calment.

Il est préférable de garder le dos bien droit, même en étant enceinte. Or pendant la grossesse, en raison du ventre qui s’arrondit et qui pèse de plus en plus, le maintien se modifie. S’étirer pour se grandir, en rejetant les épaules et le bassin en arrière, sans pour autant exagérer le ventre trop en avant, permet de corriger sa posture pour soulager le dos.

Respirer pour bien s’étirer et ne plus souffrir du dos enceinte

Les exercices d’étirement sont indissociables d’une bonne respiration. Le souffle est sollicité pour oxygéner le corps et pouvoir maintenir les postures.

En étant correctement oxygéné, l’organisme est plus en forme. La colonne vertébrale est étirée lors de la respiration, ce qui permet de détendre le dos et de soulager les douleurs.

Pour cela, il est tout de même nécessaire que la respiration soit normalisée. Or c’est rarement le cas chez les femmes enceintes qui souffrent de maux de dos.

En apprenant à mieux respirer pendant les étirements, ceux-ci sont plus faciles à effectuer et les bienfaits sont décuplés.

C’est auprès d’un coach en respiration ou d’un yoga thérapeute que les meilleurs conseils peuvent être obtenus. Il connait parfaitement le corps, son fonctionnement et sait normaliser le souffle, réguler les flux d’air.

Il s’assure que le diaphragme soit détendu, pour masser l’organisme de l’intérieur et soulager les maux de dos. Il tient compte de la grossesse pour proposer des exercices respiratoires et des étirements adaptés pour les futures mamans.

C’est dernier pourront continuer à être pratiqués après la naissance pour celles qui le souhaitent, pour soulager les éventuelles douleurs dorsales qui surviendraient ultérieurement ou de manière préventive.

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Grossesse: solution anti-ronflement pour la femme enceinte

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

Avertissement : Si vous avez des questions ou des préoccupations médicales, veuillez en parler à votre médecin. Même si les articles sur ce site se basent sur des études scientifiques, ils ne remplacent pas un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement.

Les chiffres estiment que 88 % de femmes sont touchées par le ronflement lorsqu’elles ne sont pas enceintes. Lorsqu’elles ne le sont pas, 40 % d’entre elles sont néanmoins sujettes à ce bruit respiratoire. Quelle est alors la solution anti ronflement pour la femme enceinte ?

Cet article vous renseigne.

Un traitement homéopathique pour les femmes enceinte

Le concept de l’homéopathie a été mis en place par Samuel Hahnemann. Il consiste à utiliser la même substance à la base du symptôme d’une maladie pour traiter le même symptôme de cette maladie.

Dans le cas de la femme enceinte qui ronfle, un avis médical s’impose avant tout traitement homéopathique. Généralement, la sagefemme ou le médecin gynécologue lui administre de l’opium 9 CH. Elle devra en prendre 3 granules le soir, avant d’aller au lit.

Ce traitement homéopathique peut être complété par l’utilisation d’un humidificateur d’air qui va faciliter la respiration de la femme en état de grossesse.

L’ostéopathie, une solution anti ronflement lors de la grossesse

Elle repose sur des manipulations osseuses ou musculaires. Il s’agit d’une thérapie manuelle établie par le docteur Andrew Taylor Still. Elle représente une solution anti ronflement pour la femme enceinte en ce sens qu’elle agit sur les principaux organes de son corps.

Les organes respiratoires plus précisément, dans le but de leur permettre de mieux fonctionner. En effet, les causes du ronflement sont souvent liées à une obstruction des différents conduits respiratoires que sont :

• les fosses nasales
• le pharynx
• le larynx
• la trachée-artère
• les bronches

L’ostéopathie est exercée par le médecin ostéopathe. En dehors de l’ostéopathie, la femme enceinte peut également utiliser des bandelettes nasales, elles l’aideront à lutter contre le rétrécissement de son conduit nasal.

Quelques petites astuces

Elles ne coûtent rien, et peuvent se révéler très efficaces dans la quête d’une solution anti ronflement pour la femme enceinte. Une bonne position pour dormir est la première recommandation si vous n’avez pas très envie de vous référer à un avis médical.

Au moment du coucher, restez sur le côté. D’ailleurs, la femme enceinte n’a souvent d’autres choix que de demeurer dans cette position à cause de son ventre.

Il est également conseillé de se servir d’un oreiller pour surélever sa tête. Le faire permet aux voies nasales d’être libérées, et par conséquent à la luette de ne pas vibrer.

Par ailleurs, la femme en état de grossesse peut opter pour une bague anti ronflement. Celle-ci se porte à l’auriculaire et est très utilisée dans la médecine chinoise. La porter permet de faire pression sur des points qui vont libérer les voies aériennes.

L’huile d’olive ou le thé d’eucalyptus sont aussi des solutions simples et efficaces. Une cuillère d’huile d’olive permet un assouplissement des voies respiratoires, le thé d’eucalyptus lui permet de décongestionner.

Les choses à éviter

Rechercher une solution anti ronflement lorsqu’on souffre de ce mal, c’est aussi éviter de boire du lait au coucher, car ce dernier va laisser une couche de mucus dans votre gorge. En plein sommeil, ce dépôt de mucus pourrait causer une obstruction de vos voies respiratoires.

Toujours pour réduire le ronflement, vous pourrez vous procurer une solution saline en pharmacie ou en parapharmacie. Mettez-en dans chaque narine en cours de journée, ou avant d’aller vous coucher.

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Grossesse et hypertension: danger pour la femme enceinte

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

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Encore appelée « le tueur silencieux », l’hypertension artérielle (HTA) se définit par une pression sanguine dans les artères au-delà de la norme. Cette pathologie peut également apparaître durant la grossesse. Qu’elle soit nouvellement diagnostiquée ou chronique, il faut s’en méfier, car elle engendre des complications.

Dans cet article, nous vous disons tout sur le danger que constitue l’hypertension artérielle pour la femme enceinte.

Les causes et facteurs de risque hypertensifs pendant la grossesse

L’hypertension artérielle peut apparaître durant la grossesse chez les femmes très jeunes ou chez celles ayant plus de 40 ans. En particulier quand il s’agit d’une première gestation.

• Les grossesses gémellaires (jumeaux, triplés, etc.).
• La thrombophilie, l’obésité, les pathologies rénales avérées ou le diabète de type 1 ou 2.
• Les problèmes d’hypertension existant avant la grossesse.
• Les antécédents familiaux ou personnels de RCIU, d’hématome placentaire ou de pré éclampsie.
• La perte du fœtus durant une précédente grossesse.

Ce sont là autant de facteurs aggravants liés à l’HTA. Il convient dès lors de s’intéresser aux différentes formes de cette maladie.

Les différentes catégories de troubles hypertensifs lorsqu’on est enceinte

Les troubles hypertensifs survenant durant la grossesse peuvent être classés en quatre catégories bien distinctes.

L’hypertension gestationnelle

Elle se caractérise par une Tension artérielle systolique (TAS) supérieure à 14 cmHg ou une Tension artérielle diastolique (TAD) supérieure à 9 cmHg. Elle apparaît en général chez une femme dont la tension est ordinairement normale et dont l’absence de ménorrhée remonte déjà à plus de 20 semaines.

Les mesures sont prises deux fois au moins à 6 heures d’intervalle. Il ne faut toutefois pas excéder la durée d’une semaine (7 jours). L’hypertension gestationnelle est dite sévère quand la TAS dépasse 16 cmHg ou la TAD est au-delà de 11 cmHg.

L’hypertension chronique

Ce diagnostic concerne environ 3 % des femmes enceintes. Une TAS excédant 14 cmHg ou une TAD supérieure à 9 cmHg recensées avant la grossesse ou avant la 20ᵉ d’aménorrhée confirme le diagnostic. On parle également d’HTA chronique si la tension artérielle ne redevient pas normale 12 semaines après l’accouchement.

Les possibilités de complications sur la mère et les risques pour le nouveau-né sont plus grands dans ces cas. La pré éclampsie surajoutée est une affection liée à l’hypertension chronique. Elle atteint 25 % des femmes et engage le pronostic maternofœtal.

La pré éclampsie ou l’éclampsie

Elle peut être modérée ou sévère en fonction des facteurs qu’elle présente. Il s’agit :

• D’une tension égale ou au-dessus de la norme.
• D’un taux de protéines élevé dans les urines.
• De la diminution de la quantité des urines.

Par ailleurs, les différentes déclinaisons de l’HTA entraînent des conséquences qu’il convient de mentionner.

Les dangers pour la femme enceinte et le fœtus

L’hypertension constitue un véritable risque aussi bien pour la mère que l’enfant. Elle peut engendrer un retard de croissance intra-utérin (RCIU). Elle peut également occasionner un décollement placentaire pouvant mener à la prématurité.

Dans les cas les plus graves, on peut voir apparaître des troubles hépatiques, une insuffisance cardiaque ou rénale, la coagulation sanguine ou encore des convulsions. Pour finir, vous risquez même l’hémorragie cérébrale si rien n’est fait.

Grossesse et hypertension : ce qu’il faut retenir

Les risques présentés par l’HTA sont réels. À ce titre, aucune visite prénatale ne doit être manquée. On y prend votre tension et des analyses d’urine sont effectuées afin de déceler toute anomalie. Il existe des structures spécialisées conçues pour suivre les grossesses à risque afin d’éviter toute complication éventuelle. Au moindre signe de troubles de la vue, de douleurs épigastriques, de bourdonnements, d’œdème généralisé ou de cyanose, contactez votre médecin traitant.

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Fuite urinaire pendant la grossesse: que faire ?

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
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La fuite urinaire chez les femmes enceintes est une situation qui trouble une bonne partie. En fait, ce ne sont pas les urines qui posent problème, mais plutôt la fréquence avec laquelle elles sont répétées. Trois à quatre femmes enceintes sur dix sont victimes des incontinences urinaires.

Par jour, celles-ci sont contraintes d’effectuer de multiples va-et-vient au petit coin. Des fois, on note la vitesse terrible avec laquelle elles se rendent à la douche. Alors, que faire en cas d’incontinence urinaire ? Chères dames, voici quelques orientations.

Les causes des fuites urinaires pendant la grossesse

L’incontinence urinaire provient généralement du poids du bébé. En fait, ce poids supporté par la mère entraîne l’étirement des muscles, des ligaments du périnée et autres organe tels l’urètre… Cela conduit inéluctablement à la provocation des urines.

Aussi du côté de la mère, l’augmentation de son poids, de la taille de son utérus sont des facteurs provocateurs. En effet, la vessie, plus exposée aux pressions de l’utérus succombe et les urines qui stagnent, la remplissent continuellement. Lorsqu’elle rit, tousse ou éternue, cela peut aussi entraîner des urines incessantes.

Aussi, les femmes pluripares (celles qui ont accouché plusieurs fois) sont plus exposées par rapport aux primipares (premières grossesses). Le facteur le plus convaincant est l’accouchement par voie basse. En effet, presque toutes les femmes pluripares accouchant par voie basse sont plus victimes des incontinences urinaires.

Les moyens de prévention lorsqu’on est enceinte

Il existe des moyens pour prévenir une incontinence urinaire pendant votre grossesse.

• Évitez de boire beaucoup d’eau et de boissons alcoolisées.
• Mangez des aliments riches en fibres. Cela vous assurera une bonne digestion et une meilleure absorption d’eau. Par opposition, évitez de consommer trop gras afin de limiter la prise de poids.
• La rééducation périnéale, vous en aurez besoin ! C’est une technique de relaxation utile et efficace. Elle permet de redonner du tonus aux muscles du périnée. Les organes cibles sont l’anus, les muscles du vagin et du méat urinaire. En réalité, il existe plusieurs types de rééducations. Que ce soit par méthode traditionnelle, par électrostimulation, ou le biofeedback, vous aurez plus ou moins besoin d’un kinésithérapeute ou d’une sagefemme pour un bon coaching.
• Uriner toutes les deux heures même si vous n’avez pas besoin, telle est la recommandation des experts.

Quelques conseils pratiques supplémentaires postpartum

Lorsque après votre grossesse, les urines ne cessent de s’arrêter, voici quelques indications :

• Relancez-vous à la rééducation du périnée. Elle a une finalité curative.
• Faites attention à la reprise du sport avant la fin de la rééducation périnéale.

En guise de conclusion, les femmes enceintes ou celles ayant nouvellement accouché montrent une inquiétude manifeste à propos des incontinences urinaires. Difficilement contrôlables, elles finissent par obliger les mamans à pratiquer des trottinements ou des footings réguliers au petit coin pour se soulager ?

Compte tenu de l’inexistence d’un traitement et de ce caractère contraignant de ce phénomène, les incontinences urinaires demeurent un mal nécessaire conduisant au maintien de la forme chez la maman. Ces multiples va-et-vient sont considérés comme du sport chez la femme enceinte.

Il est tout de même indiqué de prendre des mesures pour prévenir les incontinences urinaires qui peuvent être gênantes. La rééducation périnéale peut aider à cet effet.

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Apnée du sommeil pendant la grossesse : qui consulter ?

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Les apnées du sommeil sont courantes durant une grossesse. Ce syndrome augmente logiquement les risques pour la mère et pour l’enfant. Il faut donc le dépister le plus vite possible quand des symptômes associés à ce trouble prennent place.

Les problèmes respiratoires nocturnes durant la grossesse entraînent des risques. Dans le cas de la maman, cela peut concerner l’hypertension et le diabète.

Pour le bébé, il y a risque de prématurité plus élevée ou retard de croissance intra-utérin pour le fœtus. De nombreuses études ont mis en avant le fait qu’il y avait de nombreuses complications durant la grossesse, comme des embolies pulmonaires ou troubles cardiaques.

Il existe de nombreux paramètres pouvant entraîner une apnée du sommeil, même si ce syndrome touche en grande majorité les hommes. Toutefois, le syndrome augmente durablement durant la grossesse et explose littéralement au fur et à mesure du développement du fœtus.

Les ronflements touchent près de la moitié des femmes enceintes à la fin de leur grossesse tandis qu’un tiers d’entres elles sont touchées par des rhinites.

Quels facteurs de risques de développer une apnée du sommeil durant la grossesse ?

L’obésité et l’âge augmentent le risque de souffrir d’apnées du sommeil durant une grossesse. L’hypertension artérielle chronique, qui est associée au surpoids, et la rétention d’eau, sont également courantes.

De nombreux changements ont lieu quand une femme est enceinte, qu’il s’agisse des hormones, du système cardiovasculaire, circulatoire ou de la morphologie en général. Ce qui occasionne dans beaucoup de cas, des troubles de la fonction respiratoire, ce qui peut déboucher sur une apnée du sommeil.

Toutefois, même si le surpoids et l’obésité sont un facteur de risque, la prise de poids liée à la grossesse n’est pas corrélée aux apnées du sommeil. C’est la façon dont le poids est réparti qui semble causer le trouble. La graisse située au niveau du cou est ce qui pourrait entraîner, dans le cas d’un surpoids, ces troubles du sommeil.

Dépister les troubles du sommeil lorsqu’on est enceinte

Pendant la grossesse, des ronflements, une rhinite chronique et des réveils nocturnes sont fréquemment vécus par les femmes, notamment pendant les trois derniers mois de la période. Étant donné que ce sont des signes bénins, il est compliqué de dépister les éventuels symptômes associés à des apnées du sommeil.

Un bilan réalisé au sein d’un centre médical spécialisé du sommeil reste la meilleure façon d’identifier d’éventuels troubles.

Moins fiables, les questionnaires de dépistage sont aussi une solution adaptée pour traiter les cas d’apnées du sommeil, et s’adressent à tout type de public concerné par ce syndrome.

Le questionnaire de Berlin, et l’échelle de somnolence d’Epworth, en sont de parfaits exemples. Le premier identifie les ronflements, la somnolence, l’obésité, l’hypertension, et le deuxième évalue la somnolence durant la journée. Ces deux outils sont toutefois limités par rapport aux résultats donnés.

En ce qui concerne l’apnée obstructive du sommeil dans le cas de la femme enceinte, les recommandations sont peu nombreuses. Il sera proposé à la future maman un appareillage de nuit et des exercices physiques adaptés si celle-ci présente un surpoids. La position à adopter durant le sommeil, sur le côté gauche et le haut du corps légèrement surélevé, tend à améliorer la respiration.

Enfin, dans de rares cas, la chirurgie respiratoire ou bariatrique est une solution à envisager.

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Grossesse: comment soulager l’acné quand on est enceinte ?

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

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Une grande sécrétion de progestérone et d’œstrogènes entraîne une hyperactivité des glandes sébacées qui produisent du sébum en grande quantité. Ce surplus de sébum a parfois l’habitude d’empêcher la peau de respirer, ce qui est sanctionné par l’acné ou l’apparition de boutons inflammatoires et de nombreux points noirs sur le dos et le visage.

Méfiez-vous, l’acné peut vous atteindre à tout moment pendant votre grossesse, durer pendant toute la grossesse ou être simplement passagère. Toutefois, rassurez-vous, ce phénomène est sans risque pour votre bébé. Cet article vous donne des astuces pour soulager l’acné quand vous êtes enceinte.

Des astuces cosmétiques naturelles pour les femmes enceintes

Pour soulager l’acné, vous pouvez appliquer sur votre peau des produits cosmétiques purement naturels de plusieurs manières.

Pour nettoyer, vous pouvez utiliser des huiles végétales, de l’eau micellaire lactée à la rose, du savon froid sans huile essentielle et du vinaigre de pomme.

Pour les masques, utilisez de l’argile jaune, rose ou verte et du miel naturel.

Pour exfolier l’acné, nous vous conseillons du gommage végétal à la papaye, une crème de flocon d’avoine en poudre, et de l’argile Rhassoul. Enfin, pour assainir votre peau, appliquez la crème normalisant à l’oxyde de Zinc, ou de la propolis.

Effectuez toutefois, des tests d’allergies avec ces produits avant de les appliquer sur la longue durée.

Un nettoyage de la peau qui vous aidera au mieux

Ce qu’il faut savoir est que vous ne devez pas chercher des produits pour traiter les boutons, il faut plutôt :

• bien nettoyer votre peau,
• bien l’exfolier,
• se faire des masques,
• se protéger du soleil,
• prendre soin de votre corps dans son ensemble.

Privilégiez les savons naturels, les liniments et les crèmes bio, car la peau s’infecte facilement en période de grossesse. Les spécialistes vous conseilleront aussi pour sécher les boutons, l’utilisation d’eaux florales ou les hydrolats.

Utilisez aussi sous forme de lotion micellaire, du tonique dilué avec un peu d’eau ou appliquez directement sur les boutons. Pour les huiles essentielles, demandez au préalable l’avis d’un spécialiste.

La prise de médicament pour soulager l’acné lors de la grossesse

Vous devez absolument éviter l’automédication, la prise médicamenteuse est fortement déconseillée en cas d’acné. Cependant, dans le cadre d’un suivi médical, la femme enceinte doit consulter un médecin spécialiste qui lui conseillera un traitement à base de Zinc et d’érythromycine.

Le Zinc est très efficace pour l’amélioration de la condition de la peau et a peu d’effets secondaires. Il diminue considérablement la sécrétion de sébum, empêche l’inflammation et accélère la guérison des petites plaies.

La gestion du stress pour soulager l’acné

Chez certaines femmes, le stress accentue l’acné, ou même peut provoquer des démangeaisons ce qui peut conduire à des infections. Certains spécialistes recommandent plusieurs méthodes pour calmer les angoisses : comme exemple la sophrologie, la relaxation, la méditation, l’hypnose, les cours de préparation à l’accouchement avec une sagefemme, etc.

Vous pouvez opter pour des tisanes faites à base de plantes médicinales, celles-ci peuvent vous aider à vous détacher de votre stress, mais, encore une fois, demandez toujours l’avis d’un spécialiste.

Les cas d’acné chez les femmes enceintes ne constituent aucun risque pour le bébé. Cependant, faites attention à ce que vous utiliserez pour les traiter. Consultez toujours l’avis d’un spécialiste, assurez-vous de bien consommer vos repas, reposez bien votre corps et ne faites pas de mouvements brusques, évitez surtout le stress.

C’est toute une philosophie, à appliquer tout au long de cette période, qui mise sur la synergie des ingrédients et des gestes.

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Nerf sciatique douloureux pendant la grossesse: que faire ?

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
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La grossesse est une période durant laquelle le corps de la femme connaît de sérieuses transformations. Ces divers changements peuvent provoquer une irritation du nerf sciatique.

Très douloureux pour la femme enceinte, c’est un mal qu’on peut heureusement vaincre par de nombreux moyens. Nous vous en proposons quelques-uns dans cet article.

Faire des étirements pour soulager le nerf sciatique

Les étirements sont des moyens très efficaces pour soulager vos nerfs sciatiques douloureux. Ils sont très conseillés pour apaiser les douleurs sciatiques durant une grossesse. Plusieurs étirements sont à votre portée. Ils diffèrent les uns des autres, mais sont tout aussi doux et efficaces pour vous soulager.

L’étirement du fessier est recommandé pour apaiser ce mal. Puisque les douleurs sciatiques créent des pincements au niveau des fesses, faire ce type d’exercice serait bénéfique pour réduire la douleur. Vous pouvez aussi opter pour l’étirement des hanches et des adducteurs. C’est un exercice qui peut parfaitement se faire en position assise.

Cette position assouplira votre hanche et votre dos. Il est également très efficace pour diminuer le mal sciatique. Par ailleurs, l’étirement du dos est aussi préconisé. Cet étirement peut se faire à quatre pattes en adoptant la « posture du chat ».

Il peut aussi se faire en s’allongeant sur le dos avec les jambes pliées et les pieds au sol.

Atténuez la douleur en faisant des massages

Si vous ne souhaitez pas faire des étirements de peur de vous faire mal ou de faire mal à votre bébé, vous pouvez choisir de subir des séances de massage. Il est possible de vous faire masser en étant allongée, au repos et même debout.

Il est également possible de le faire à l’aide d’un ballon spécialement conçu pour la situation, il s’agit du swiss ball.

Ce massage consiste à mettre le ballon dans son dos et contre le mur. Puis à faire des mouvements de la droite vers la gauche de sorte à masser le bas de votre dos. Vous pouvez également vous mettre à genoux, et prendre appui sur le ballon avec le haut de votre poitrine.

Grâce à cette position, vous pouvez subir un petit massage de la tête vers les fesses. Assurez-vous surtout qu’elle ne le fait pas dans le sens inverse. Vous devez toujours vous faire accompagner d’un professionnel au cours de ses séances de massage.

D’autres astuces pour soulager vos douleurs sciatiques

En plus de ces méthodes, voici quelques astuces pour vous aider à soulager le mal :

• Pratiquer la natation et le yoga ;
• Porter une ceinture de grossesse, pour soutenir votre bassin et le bas de votre ventre
• S’allonger régulièrement au cours de la journée et surtout sur le côté en 3/4 latérale
• S’asseoir sur un ballon plutôt qu’une chaise et faire régulièrement des mouvements avec le ballon.

Ce sont des astuces salvatrices qui vont très vite vous soulager.

Consulter un médecin

En dehors des solutions suscitées, vous pouvez en prime consulter un médecin spécialisé dans le traitement des femmes enceintes. Il saura vous conseiller en fonction de la gravité de votre cas. Il vous expliquera en détail les bonnes attitudes à tenir pour lutter contre la douleur ressentie au niveau du nerf sciatique.

Durant la grossesse, vous pouvez ou non être sujette aux signes d’une sciatique. Celles-ci sont entre autres, des douleurs au niveau du dos, des fesses et du pied.

Pour être sûr que votre sciatique est effectivement liée à la grossesse, il est recommandé de consulter en urgence votre médecin. En plus de ses conseils, vous pouvez au choix adopter l’une de ses solutions pour vous débarrasser rapidement de votre mal.

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Le jeûne intermittent et la femme enceinte: danger!

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Faire un jeune intermittent pendant la grossesse peut s’avérer utile pour perdre les kilos en trop. Faut-il le faire vraiment ?

Jeûner pendant la grossesse

Avoir un enfant est pour une mère la plus belle chose qui soit. Le problème c’est que cela bouleverse, à la fois de la vie de la maman, mais aussi du couple en général.

Le problème se pose notamment dans la religion musulmane. En effet, il est possible que la femme tombe enceinte pendant la période du ramadan. Cette tradition est un jeune intermittent dit sec. Un jeune intermittent de manière classique consiste à alterner des phases d’alimentation et de jeune. La méthode la plus connue est la méthode 16/8. Le ramadan est plus extrême, car il ne permet pas de s’hydrater.

Toutefois, il faut savoir que l’alimentation est importante dans le cas d’une grossesse, à la fois pour la maman et le bébé. Quand on est enceinte, il y a des aliments à privilégier et d’autre moins. Il faut bien évidemment veiller à consommer une variété d’aliments, avec des fruits et des légumes. Cela s’applique même sans grossesse, mais c’est particulièrement essentiel quand un bébé arrive.

Le jeune intermittent fait en sorte qu’un repas est sauté dans la journée. Traditionnellement c’est le petit-déjeuner ou le diner qui est éliminé, car ils sont les plus « faciles » à enlever de l’alimentation.

Faire un jeune intermittent quand on est enceinte

Quand on est enceinte, il est déconseillé de réaliser n’importe quel type de jeune. Des études menées sur les femmes enceintes durant le ramadan montrent qu’un jeune n’aurait pas ou peu d’effet sur les nouveaux nés.

Cependant d’autres recherches suggèrent que les personnes nées d’une mère ayant fait un jeune intermittent durant la grossesse auraient plus de problèmes de santé au cours de leur vie.

Quoi qu’il en soit, il faut savoir que réaliser un jeune intermittent va forcément priver d’un apport calorique journalier puisqu’on ne fait plus que deux repas au lieu de trois. Une grossesse va forcément faire prendre du poids à la mère car celle-ci va réaliser moins de sport et manger plus, car l’appétit est décuplé.

La réalisation d’un jeune intermittent pour les personnes enceintes est donc à proscrire. Pour les musulmans, il est notamment conseillé de reporter ce jeune. La préoccupation principale au moment de la grossesse doit être de tout faire pour que le bébé arrive en bonne santé. Il est donc essentiel que l’enfant soit assez nourri.

Dans tous les cas, la mère va forcément ressentir le besoin d’avoir assez de nutriments pour ne pas être en mauvaise forme. Il faut donc bien s’alimenter et s’hydrater régulièrement.

À la fin de la grossesse, il est cependant possible de réaliser ce jeune intermittent, pour perdre vos kilos en trop et retrouver votre corps tel qu’il était avant. Cela doit se faire en respectant une bonne hygiène de vie. Il est donc possible de l’associer à une pratique sportive régulière comme peut l’être la natation et la course à pied.

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