Papillomavirus : comment ne pas l’attraper ?

Rédigé par : Loris Vitry (coach holistique)
Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

Avertissement : Si vous avez des questions ou des préoccupations médicales, veuillez en parler à votre médecin. Même si les articles sur ce site se basent sur des études scientifiques, ils ne remplacent pas un avis médical professionnel, un diagnostic ou un traitement.


Papillomavirus : comment ne pas l’attraper ?
Nouveauté : Cette technique de respiration anti-stress est très efficace pour désactiver l'anxiété et les angoisses (et non, ce n'est pas de la respiration profonde).

Les infections sexuellement transmissibles ont toujours été au centre des préoccupations des jeunes en général et des jeunes mères et jeunes filles en particulier.

Au nombre des IST les plus répandues dans le monde, le papillomavirus tient une place importante.

En effet, bien que ces conséquences soient graves (un cancer du col de l’utérus par exemple), le papillomavirus touche environ 80 % des personnes qui sont actives sexuellement.

Ainsi, vu qu’il s’agit d’une infection grave et très répandue, il est important de prendre des mesures pour s’en protéger.

Trouver dans cet article des moyens pour vous protéger de ce dernier.

Que savoir du papillomavirus ?

Il faut commencer à dire que les papillomavirus humains ou HPV sont pour la plupart sans danger pour l’organisme.

En effet, à ce jour, il a été recensé plus de 120 différentes variétés de ce même virus.

Cependant, juste une quinzaine d’entre elles sont jugées dangereuses pour l’Homme.

Ces variétés du papillomavirus et surtout le HPV 16 et le HPV 18 sont à haut risque parce qu’elles peuvent conduire au cancer.

En ce qui concerne les HPV qui ne sont pas classés à haut risque, ils sont éliminés par le système immunitaire dans 9 cas sur 10.

Ils sont donc surtout dangereux pour les personnes qui ont un système immunitaire faible.

Il est alors parfois important de booster ses défenses immunitaires pour mieux se protéger.

Le facteur principal qui est à la base d’une infection au papillomavirus est la diversification des partenaires sexuels.

Ce facteur est aggravé par les faiblesses du système immunitaire.

Lorsque le papillomavirus entre dans l’organisme, son mode d’action est très lent et silencieux.

Au cours des dix premières années, on constate la formation des lésions précancéreuses puis après dix ans, elles se transforment en lésions cancéreuses.

Le cancer de l’anus, celui du col de l’utérus, celui du vagin, celui de la vulve ainsi que le cancer du pénis sont les formes de cancers que le papillomavirus entraîne le plus souvent.

Ainsi, aussi bien les hommes que les femmes sexuellement actives sont susceptibles de contracter le papillomavirus.

Comment faire pour ne pas attraper le papillomavirus ?

Malgré les graves conséquences du papillomavirus, il est évident que beaucoup de personnes ne prennent pas assez de mesures pour se protéger.

En effet, selon des recherches récentes, plus de la moitié des femmes contracte ce virus dès qu’elles deviennent sexuellement actives.

Sur ces cas d’infection, 90 % conduisent à un cancer du col de l’utérus.

C’est donc dire combien il est important de connaître les différents moyens qui permettent une protection contre le papillomavirus.

Le préservatif

Le préservatif reste l’une des meilleures alternatives pour prévenir les infections sexuellement transmissibles.

Cependant, bien qu’il permette de prévenir les infections au HPV, il s’agit d’une mesure incomplète.

En effet, au cours d’un rapport sexuel, le préservatif ne permet de recouvrir toutes les zones à risques.

Pour assurer une meilleure protection avec un préservatif, il faudra veiller à l’utiliser pour tous types de relations, tout en gardant à l’esprit que la prévention n’est pas complète.

Le dépistage

Quel que soit le mode de prévention utilisé, il est important de faire de façon régulière le dépistage afin de prévenir les lésions cancéreuses.

En effet, lorsque les lésions sont constatées tôt, le patient aura l’occasion de bénéficier d’une prise en charge efficace et adaptée.

De façon concrète, le dépistage consiste à faire des frottis.

Il permet de vérifier la présence ou non des lésions précancéreuses ou cancéreuses au niveau des cellules.

Le frottis permet de dépister le cancer du col de l’utérus et le cancer de la muqueuse anale.

En ce qui concerne le dépistage du cancer de la gorge, les résultats relatifs à l’efficacité de la méthode ne sont pas encore prouvés.

Le dépistage doit se faire régulièrement et n’entraîne aucune douleur.

La circoncision

De plus en plus de recherches effectuées dans le domaine ont montré que la circoncision a un impact positif sur la prévention du papillomavirus.

Cependant, il faut reconnaître qu’il existe aussi des recherches qui prouvent que la circoncision n’a aucun rôle déterminant dans la prévention des infections aux HPV.

Bien qu’il existe des résultats plus ou moins concluants, il faut donc retenir que la circoncision en elle seule ne peut constituer une prévention contre le papillomavirus.

L’éducation sexuelle

L’éducation et l’information sont à la base de la prise de conscience réelle du problème sanitaire que représente le papillomavirus.

Pour ce faire, l’éducation sexuelle constitue un mode de prévention qu’il n’est pas judicieux d’oublier.

En effet, lorsque l’adolescent est informé des risques qui courent et des moyens de les prévenir, il est en mesure de mieux se protéger.

Cependant, le rôle de la sensibilisation et d’information ne se limite pas au cercle familial.

Il doit s’élargir au niveau des écoles, des centres de santé et des autres cadres appropriés.

L’éducation et la sensibilisation sont les moyens par excellence pour prévenir le papillomavirus parce qu’elles rendent les enjeux plus compréhensibles pour tout le monde.

En définitive, certains types de papillomavirus humains (HPV) sont inoffensifs tandis que d’autres entraînent plusieurs types de cancers sur le long terme.

Bien qu’il s’agisse d’une infection qui touche beaucoup de personnes à travers le monde, vous ne devez pas vous laisser envahir par le stress.

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Papillomavirus : comment éviter le cancer du col de l’utérus ?

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Supervisé par : Cathy Maillot (ostéopathe)

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Nouveauté : Cette technique de respiration anti-stress est très efficace pour désactiver l'anxiété et les angoisses (et non, ce n'est pas de la respiration profonde).

On a tous, un jour, entendu parler du cancer du col de l’utérus. Néanmoins, il faut savoir que c’est bien plus courant qu’on ne pourrait le penser. Si vous souhaitez à tout prix l’éviter, voici quelques gestes à avoir.

Papillomavirus : comment éviter le cancer du col de l’utérus ?

Se faire vacciner contre le Papillomavirus

La première des choses à faire, pour une fille, pour éviter d’avoir un cancer au col de l’utérus est tout simplement de se faire vacciner. En effet, un vaccin a été inventé pour que justement les jeunes filles, durant leur adolescence, se fasse vacciner.

Le vaccin se divise en trois, qu’il faut faire par intervalle régulier. Il suffit d’acheter ce dernier en pharmacie et d’aller voir son médecin traitant. Néanmoins, ne soyez pas surprise, c’est un vaccin légèrement douloureux.

Éviter le cancer du col de l’utérus : avoir des rapports sexuels sûrs

Le cancer du col de l’utérus peut facilement se transmettre lors de relations sexuelles. En effet, pour éviter d’avoir un cancer, il faut se protéger. Cela évitera à bon nombre de jeunes filles ou de femmes de se retrouver avec un cancer, qu’elles n’ont pas voulus.

De plus, il faut toujours connaitre les personnes avec qui nous avons des rapports sexuels. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’on ne sait avec qui la personne a pu en avoir d’autres.

Il serait donc dommage d’avoir une maladie grave sous prétexte que la personne nous a assurée d’être clean, non ?

Se faire dépister en cas de doute

Si vous avez des doutes ou que vous souhaitez être rassurée, il faudra certainement vous faire dépister. C’est une pratique qui se fait et vous n’avez aucune honte à avoir. De plus, il vaut mieux être rassuré une bonne fois pour toute, plutôt que de se poser la question.

Et si le dépistage est positif ? Pas de panique, il existe des traitements qui vous aideront à combattre les cellules cancéreuses. Notons également qu’il vaut mieux le dépister tôt pour avoir plus de chances de s’en sortir.

Le dépistage peut se faire à tout âge. Donc n’ayez pas peur de vous renseigner et de prendre rendez-vous.

Arrêter de fumer : solution contre le cancer

Nous n’arrêterons pas de le dire, mais la cigarette et le tabac, c’est mal ! Et pourtant, il existe beaucoup de personnes qui continuent de fumer. Il faut savoir que si les rapports sexuels qui ne sont pas sûrs, peuvent être risqué, le tabac l’est aussi également.

En d’autres termes, il faut faire attention et arrêter la cigarette. Bien évidemment, vous pouvez le faire de manière progressive, mais l’arrêt complet réduira fortement le risque de cancer du col de l’utérus. 

En conclusion, le papillomavirus est un cancer que seules les filles peuvent avoir. Comme vous devez vous en douter, les hommes n’ont pas d’utérus ! Néanmoins, avant de l’avoir, il est possible de le prévenir, par un vaccin, par exemple.

Il faut toujours faire attention aux rapports sexuels que l’on a, et surtout arrêter de fumer ! Ainsi, vous n’aurez aucun risque d’avoir un cancer du col de l’utérus.

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